Les gorges de Toul Goulic
Les Gorges de Toul Goulic, au cœur d’une une vallée encaissée, offrent un spectacle naturel saisissant, prisé des amoureux de la nature et des randonneurs. Ce site unique résulte de l’érosion millénaire des roches granitiques, façonnées par la pluie et les eaux du Blavet. Ce fleuve, prenant sa source en amont du lac de Kerne Uhel, disparaît sur près de 300 mètres sous un chaos rocheux avant de réapparaître et de poursuivre son chemin vers le canal de Nantes à Brest, traversant des paysages tout aussi enchanteurs.
Les versants des gorges, ombragés par des chênes et des hêtres majestueux, forment un véritable écrin. La végétation y est luxuriante, avec des tapis de mousses, de lichens et de fougères, dont l’Osmonde royale, l’une des plus grandes et belles fougères de la région. Ce cadre préservé est également un refuge pour une faune remarquable : la loutre, appelée « ki dour » en breton, fréquente régulièrement le site, laissant parfois derrière elle des empreintes ou des épreintes musquées sur les rochers. Les cavités rocheuses abritent en hiver le Murin de Daubenton, une petite chauve-souris, tandis que l’escargot de Quimper, espèce endémique et protégée, trouve refuge sur les versants humides et boisés.
Outre sa richesse écologique, les Gorges de Toul Goulic ont également une valeur historique. Durant la Seconde Guerre mondiale, elles servirent de cachette à des groupes de résistants. Aujourd’hui, un sentier aménagé permet d’accéder au site, offrant aux visiteurs une immersion sauvage et le grondement sourd de l’eau qui s’écoule entre les blocs
A parking du parking, le sentier descend jusqu'au gorges.
Les versants des gorges, ombragés par des chênes et des hêtres majestueux, forment un véritable écrin. La végétation y est luxuriante, avec des tapis de mousses, de lichens et de fougères, dont l’Osmonde royale, l’une des plus grandes et belles fougères de la région. Ce cadre préservé est également un refuge pour une faune remarquable : la loutre, appelée « ki dour » en breton, fréquente régulièrement le site, laissant parfois derrière elle des empreintes ou des épreintes musquées sur les rochers. Les cavités rocheuses abritent en hiver le Murin de Daubenton, une petite chauve-souris, tandis que l’escargot de Quimper, espèce endémique et protégée, trouve refuge sur les versants humides et boisés.
Outre sa richesse écologique, les Gorges de Toul Goulic ont également une valeur historique. Durant la Seconde Guerre mondiale, elles servirent de cachette à des groupes de résistants. Aujourd’hui, un sentier aménagé permet d’accéder au site, offrant aux visiteurs une immersion sauvage et le grondement sourd de l’eau qui s’écoule entre les blocs
A parking du parking, le sentier descend jusqu'au gorges.